Non.

Hydro-Québec peut collaborer avec d’autres pays pour défendre son réseau, pensons à des « partenaires naturels » du Québec comme les États-Unis, l’Allemagne, la France ou l’Angleterre, qui possèdent une expertise avancée en matière de cybersécurité, ou encore avec des compagnies sœurs d’autres provinces canadiennes.

Hydro-Québec aurait donc pu faire un autre choix et refuser de signer une entente de collaboration avec l’État d’Israël.